Le Grand Blanc

Au départ, il y a toujours un sommet à gravir. Quelque soit son nom, on s’y prépare, on en rêve, on en stresse, on en vit...

L'ombre du Mont-Blanc...


Ce qui fait le fondement de ma passion, c’est que chacun y mette ce dont il a envie. Ainsi, nous sommes tous égaux au pied du mur.

Sous l'Aiguille de Bionnassay.


A chaque fois que je pars pour le Grand Blanc le même sentiment m’étreint : le fait d’être connu ne l’empêche pas d’être majestueux, le fait d’être connu ne l’empêche pas d’être difficile, délicat, le fait d’être connu ne nous empêche pas de l’aborder avec respect et rigueur, et d’en descendre comblés, prêts à y retourner les yeux grands ouverts et le cœur vibrant.

Une cordée montant au dôme du Goûter.


En me retournant au pied du mur, ma certitude c’est faite encore plus grande : nous sommes tous capables de gravir des montagnes, encore faut-il en avoir envie.

Les deux Maries en pleine tempête sous le refuge du Goûter.


C’est bien  pour cela que ce blog existe : montrer que le choix est possible.

« Live or let die ?» allons-nous nous confronter à la vie et gravir nos montagnes ou simplement rester au pied du mur, de nos murs et jeter les armes ?

Merci à Marie-Thérèse, Marie-Andrée, Gilles, Gérard, Raoul et Geoffrey pour avoir été si heureux là-haut !